Prêts immobiliers 2023 : quelle assurance emprunteurs après 50 ans ?
Prêts immobiliers 2023 : quelle assurance emprunteurs après 50 ans ?
Divers - 2023-05-21 - 722 Vue(s)
Assurez votre hypothèque après 50 ans
Avoir un projet immobilier n'est pas l'apanage de la jeune génération. Après 50 ans, les cotisations d'épargne et la stabilité des revenus sont des atouts pour accéder au crédit bancaire, mais il existe des obstacles importants. C'est l'assurance emprunteur qui est la protection essentielle dont la banque a besoin pour se prémunir contre les accidents. C'était une crise mortelle dans la mesure où l'assurance contre le remboursement des dettes ne pouvait être souscrite.
L'âge, risque accru pour l'assurance emprunteur
Les banques prennent toutes les précautions nécessaires pour éviter les risques et atténuer les défaillances des emprunteurs. Les premières garanties sont les hypothèques classiques (logements neufs, anciens ou à construire), les hypothèques statutaires particulières des prêteurs (depuis janvier 2022, remplacent les prérogatives des prêteurs et sont réservées aux seuls biens existants). ) ou un (tout type de bien immobilier). Une garantie entre en vigueur si l'emprunteur ne paie pas les mensualités, entraînant généralement une saisie du bien. Les banques ont besoin d'une autre protection. Celle-ci couvre non seulement les aléas de la vie, c'est-à-dire le décès, mais aussi les accidents et les maladies qui coûtent cher à l'emprunteur et le privent des moyens de rembourser le prêteur.
La banque analyse la solvabilité du candidat au prêt et tient compte de la perte potentielle de revenus lors du passage à la retraite. Les durées de prêt doivent être aussi courtes que possible afin de minimiser les risques associés aux risques pour la santé. Les risques pour la santé sont statistiquement plus élevés pour les emprunteurs de plus de 50 ans que pour les jeunes travailleurs.
L'assurance-crédit impose de remplir un document détaillant les antécédents médicaux de l'emprunteur, souvent complété par un formulaire plus spécifique de déclaration de risque. Selon le type de risque identifié, l'assureur peut demander une analyse, un rapport médical, une épreuve d'effort, un électrocardiogramme ou d'autres tests. Sur la base de ces données, l'assureur accepte ou refuse le contrat. Si elle est acceptée, l'assurance peut être associée à une limitation de couverture et/ou à une exclusion de garantie.
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